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En escadrille, les fameuses de Chirac, que je ne portais pas dans mon coeur. Je me rappelle des derniers essais nucléaires français avant qu’ils ne soient interdit au niveau mondial. Ca m’était resté en travers de la gorge. Mais je me rappelle aussi pour être honnête du discours de de Villepin à l’ONU pour justifier de la non participation de la France à la guerre d’Irak, c’était couillu et rétrospectivement une belle action.

Pour en revenir aux merdes qui volent en escadrille, j’espère que celle-ci viendra clore le vol, un divorce après 30 belles années. J’étais, il y a encore 5 ans, certain de vivre jusqu’à la fin de mes jours avec la même femme. C’était mon souhait et ma volonté. A cette époque, la vraisemblance d’un divorce, je l’aurais estimé à moins de 1%. Cela dit, j’aurais pronostiqué la même chose à propos d’une pandémie mondiale. Comme quoi, rien n’est jamais acquis et rien n’est sûr. 

 

L’optimisme demeure un cap à conserver, et mes déambulations en Suisse au sein des musées montrent que dès qu’ils réouvrent, les gens s’y précipitent en masse, et c’est une bonne nouvelle. Et quelque chose me dit que les terrasses de bars et des restaurants dès lundi prochain à Genève seront très fréquentées !

Bonne semaine à tous.